MAXIME MASSARE

 

—   Paradis Perdu   —


2010. Cuba.


Itinérance temporelle au cœur de l'étrange paradis.

De ton enveloppe je ne suis jamais réellement revenu. 


Le jeune homme fut accueilli par la tendre volupté de l'archipel aux mille histoires. Elle devint alors pour lui, une perle égarée au milieu des pluies tropicales. 



 


Au coeur de tes terres il pleura les amis qu'il avait connu trop brièvement. 

Leurs visages et leur musique l'accompagneraient alors toute sa vie. 

"PICAN NO PICAN LOS TAMALITOS DE OLGA"


Le temps s'était évanoui, laissant le passé s'encrer. Illusion temporelle pour découverte éternelle. Absent du monde il entrevit une porte où ils ne furent qu'un. Jamais il n'oublia ce mirage.


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